”Les progrès de notre modernité nous ont rendu le bonheur plus difficile. Nous en savons trop parfois, pour être heureux.”
Ces sont des lignes qui montrent le point de vue de Jean-Louis Servan-Schreiber, auteur de vivre content.” Ils m’ont fait penser à ce que Paulo Coelho écrit dans un des ses romans, “Seul celui qui est heureux peut répandre le bonheur autour de lui.” Et vraiment, aujourd’hui on n’est pas satisfait…on cherche le bonheur tout le temps…autour de nous…souvent on pense qu’on l’a trouvée dans notre job ou carrière. Chaque instant vous éssayez de dépasser vos limites…c’est comme un test…un test pour prouver vos capacitiés…un test pour vous-même. Vous sentez qu’il va vous donner le bonheur! Mais en fait, ce crée le stresse, l’angoisse..quelque fois vous êtes triste et déçu! Dans un mode d’aujourd’hui la compétition est difficile ! l’accès à l’internet, à l’information, nous en savons trop! Et votre bonheur?
Souvent les gens cherchent le bonheur le bonheur dans les choses matérielles – cettes choses donneront le bonheur mais juste pour un instant. Vous utilisez une formule incorrecte, et vous recvrez une réponse assez fausse! Comparez le passé avec aujourd’hui…Quelle est la differénce? La modernité de notre progress biensûr. La carrière ou un job il existait…pour bien gagner, et pas pour être heureux. Nous avons fait du progress et aujourd’hui le vie est plus confortable, à cause de la téchnologie…! Mais ce n’est pas la bonheur.
La solution? Un proverbe chinois dit, “Le bonheur vient de l’attention a prêtée aux petites choses…” Dans les choses simples…votre carrière, votre prestige ne donne pas le bonheur profonde. Ce n’est pas la question de la richesse ou la pauvrété, de la classe ou de la masse…le bonheur est comme un trésor caché…et la clè pour le trouver? La simplicité…en somme la beauté de la vie est partout, ce n’est pas elle qui manque nos yeux, ce sont nos yeux qui manquent à l’apercevoir…Ce n’est pas tout le temps la perfection, quelque fois c’est la tolérance de l’imperfection…Le bonheur est possible…changez votre formule de vivre content!
dimanche 27 septembre 2009
dimanche 20 septembre 2009
"Nos vies ne valent pas grand-chose...", Carla Bruni
Les premières lignes de la chanson de Bruni, ils font nous penser, “Est-ce qu’il y a une valeur de la vie?”
Oui, bien sûr! En fait, dans un marché economique il y a un prix pour toutes les choses. Il y a une valeur pour le temps que je consacre à mon travail, et si vous l’aimez pas ou non, il y a une valeur ou un prix aussi pour vos compétences, votre formation et aujourd’hui il y a une sécuritié ou une assurance pour la vie.
Moi, je pense que la vie est un don gratuit donée par le dieu. Pour quelqu’un elle est devenue comme une passion, pour les autres une tragédie. Par exemple, pour quelqu’un en amour, la vie est belle; mais pour un homme qui cherche à se suicider semble affirmer par son geste que la vie ne vaut pas la peine d’être véçue. La vie est comme un tableau qui on peut se peintre avec les couleurs de notre choix. Et la valeur est dépendant la satisfaction de tous vos désirs? Non, en fait chaque expérience mauvaise ou belle aide à comprendre profondément la vraie valeur de la vie.
La vie comme les roses qui se fanent pass en instant, et change tout le temps. En instant, vous êtes heureux, soudain vous êtes triste! Mais pour moi, c’est la vie – et sa beauté. Elle est pleine de surpris! Elle enseigne comment vivre avec des expériences et nous enseigne des leçons inoubliables. Si la vie est prédictable, n’agréez-vous pas que ce sera ennuyeux?
A la fin, la vie est juste comme vous en fait – vous avez la choix – de remplir avec la joie ou la tristesse!
Oui, bien sûr! En fait, dans un marché economique il y a un prix pour toutes les choses. Il y a une valeur pour le temps que je consacre à mon travail, et si vous l’aimez pas ou non, il y a une valeur ou un prix aussi pour vos compétences, votre formation et aujourd’hui il y a une sécuritié ou une assurance pour la vie.
Moi, je pense que la vie est un don gratuit donée par le dieu. Pour quelqu’un elle est devenue comme une passion, pour les autres une tragédie. Par exemple, pour quelqu’un en amour, la vie est belle; mais pour un homme qui cherche à se suicider semble affirmer par son geste que la vie ne vaut pas la peine d’être véçue. La vie est comme un tableau qui on peut se peintre avec les couleurs de notre choix. Et la valeur est dépendant la satisfaction de tous vos désirs? Non, en fait chaque expérience mauvaise ou belle aide à comprendre profondément la vraie valeur de la vie.
La vie comme les roses qui se fanent pass en instant, et change tout le temps. En instant, vous êtes heureux, soudain vous êtes triste! Mais pour moi, c’est la vie – et sa beauté. Elle est pleine de surpris! Elle enseigne comment vivre avec des expériences et nous enseigne des leçons inoubliables. Si la vie est prédictable, n’agréez-vous pas que ce sera ennuyeux?
A la fin, la vie est juste comme vous en fait – vous avez la choix – de remplir avec la joie ou la tristesse!
dimanche 6 septembre 2009
Est-ce que les films hindis reflètent la culture indienne?
Les films indiens font partie de l’industrie cinématographique indienne qui s’appelle “Bollywood”. Et l’Inde est le premier producteur de films par an au monde! Le cinéma est un art et une “distraction” particulièrement populaire en Inde – quels que soient l’âge, la réligion, l’origine sociale ou géographique des personnes – tous fréquentent les salles de cinéma.
N’importe quel cinéma, les films reflètent la culture de la société. Ils reflètent les valeurs, les modes de la vie, les mœurs, les problèmes et tout ce qui existe dans la sociètè. Donc, on peut dire que le cinèma et la culture sont liés. Le cinéma montre l’essence de la société – la culture.
Au début, les films indiens ont été realisés autour des sujets “indiens”. Par exemple, pendant le temps de notre lutte contre les Anglais, le cinéma était un moyen pour exprimer la colère et la voix des Indiens. Aussi, le thème pour quelques films étaient les histoires mythologiques comme le film de Dada Saheb Phalke – Raja Harishchandra, un épisode de “Mahabharata”. Il y avait des éléments indésirables dans la société que le cinèma montraient.
Mais aujourd’hui, le cinèma, comme la culture, montre les changements de notre société, grậce à l’influence de la mondialisation et l’influence occidentale. Parmi les réalisateurs contemporains émergent Mira Nair et Gurinder Chadha, qui ont obtenu des prix internationaux. Ses films traitent des thèmes sociaux – comment vivent les Indiens a l’étranger, comment ils gardent leurs traditions, leurs relations avec des étrangers. On le voit dans “Bend it like Beckham” et “Monsoon Wedding”. Aujourd’hui, nous avons les réalisateurs comme Karan Johar qui a introduit un genre des films avec des thèmes qui concernent notre société, des liens familiaux. En fait, récemment, “Slumdog Millionaire” qui était bien reçu par le monde entier a été réalisé dans les bidonvilles de Mumbai . Je connais mes amis qui n’aiment pas le film parce qu’il montre la vraie Inde – avec sa pauvreté, sa corruption, son crime.
Mais, la vérité – si vous l’aimez ou non, c’est le fait que le septième art est une refléxion de la culture d’une société!
N’importe quel cinéma, les films reflètent la culture de la société. Ils reflètent les valeurs, les modes de la vie, les mœurs, les problèmes et tout ce qui existe dans la sociètè. Donc, on peut dire que le cinèma et la culture sont liés. Le cinéma montre l’essence de la société – la culture.
Au début, les films indiens ont été realisés autour des sujets “indiens”. Par exemple, pendant le temps de notre lutte contre les Anglais, le cinéma était un moyen pour exprimer la colère et la voix des Indiens. Aussi, le thème pour quelques films étaient les histoires mythologiques comme le film de Dada Saheb Phalke – Raja Harishchandra, un épisode de “Mahabharata”. Il y avait des éléments indésirables dans la société que le cinèma montraient.
Mais aujourd’hui, le cinèma, comme la culture, montre les changements de notre société, grậce à l’influence de la mondialisation et l’influence occidentale. Parmi les réalisateurs contemporains émergent Mira Nair et Gurinder Chadha, qui ont obtenu des prix internationaux. Ses films traitent des thèmes sociaux – comment vivent les Indiens a l’étranger, comment ils gardent leurs traditions, leurs relations avec des étrangers. On le voit dans “Bend it like Beckham” et “Monsoon Wedding”. Aujourd’hui, nous avons les réalisateurs comme Karan Johar qui a introduit un genre des films avec des thèmes qui concernent notre société, des liens familiaux. En fait, récemment, “Slumdog Millionaire” qui était bien reçu par le monde entier a été réalisé dans les bidonvilles de Mumbai . Je connais mes amis qui n’aiment pas le film parce qu’il montre la vraie Inde – avec sa pauvreté, sa corruption, son crime.
Mais, la vérité – si vous l’aimez ou non, c’est le fait que le septième art est une refléxion de la culture d’une société!
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